“Miséricorde pour le Liban” H. Huchard – 2006 - Gouache/collage - 61 x 50 cm « Nul ne peut atteindre l’aube sans passer par le chemin de la nuit », écrivait le grand poète libanais Khalil Gibran. Son cher pays du Cèdre semble plongé dans une nuit sans fin et le chemin vers l’aube est introuvable. Avant la crise du Covid-19, le Liban était

“Le gris des jours” H. Huchard Gouache (51x60) – 1995 “À tourner en rond dans l’hiver infini, nous nous étions déshabitués des saisons. Nous n’avons pas connu le printemps, il est passé sous nos fenêtres sans fleurs ni couronnes… On a beaucoup pleuré, on a vu partir des proches sans pouvoir leur dire « au revoir ». Et puis il y a

Un article de ce magazine, “L’extravagance du minimalisme”, est consacré à l’architecte/designer Vincenzo de Cotiis qui a restauré sa résidence de week-end, un palais du 18ème siècle à Pietrasanta. Le miroir daté de 1942 signé Huchard s’intègre au mur de plâtre marbré du vaste couloir avec une perspective sur l’escalier en colimaçon ; sous le miroir, un tabouret de laiton oxydé conçu par l’architecte,

Table basse 1944 – plateau circulaire en verre églomisé et rehauts d’or à décors d’animaux et de chasseurs marqué par les quatre points cardinaux – piètement en fer forgé rehaussé de dorures – Signé Henriette Huchard et daté – Haut. 39 cm, diam. 71 cm. Cette table, objet précieux, fait partie de la collection d’objets en verre gravé, comme il

“Songes du poète” de Tristan Derème, Edition 1931, exemplaire rarissime illustré par Henriette Huchard. Henriette Huchard a illustré un ouvrage du poète Tristan Derème édité en 1931. C’est ce que dévoile le site du poète : tristan-dereme.fr. “L’illustration évoque ici avec grâce et sensibilité la mélancolie qui habite le poète dont l’amante s’est éloignée quelque temps et qui se confie

“Août 1944” H. Huchard - Huile (92x65) - Années 80 Samedi 26 août 1944 Libération de Paris : “Dans la lumière de cet inoubliable après-midi, il entrevoit une foule immense, « peut-être deux millions d'âmes », écrira-t-il (Mémoire de Guerre du Général de Gaulle). « Si loin que porte ma vue, ce n'est qu'une houle vivante, dans le soleil, sous le tricolore… ». “Une

Mille neuf cent cinquante huit Plus soixante, voici 2018, Un voeu de beauté et de lumière “Comme un chant d’espérance.”

Saint Basile, Place Rouge à Moscou. Gouache des années 80.

"La messe pour l’Abbé Pierre", gouache/collage, est réalisée en janvier 2007 à la mémoire de l’Abbé Pierre dont les funérailles célébrées dans la cathédrale Notre-Dame de Paris réunissent plus de 1000 personnes. “Au début de l'année 2007, Henriette Huchard entre dans sa quatre-vingt-dix-neuvième année et travaille encore quelques heures par jour. En avril, elle termine une gouache intitulée “Le Solitaire”. Une autre est en cours lorsque son œuvre est interrompue par une pneumonie qui l'emporte le 26 avril. Elle repose au cimetière du Montparnasse, auprès de son époux Lucien Huchard.”